Un article très intéressant sur le thème de la transmission inconsciente de l'infuence de nos parents, ancêtres sur la répercution de notre identité actuelle.
Ci-dessous un extrait / paru à l'inrees
Dimanche 23 Septembre 2012 / Par Audrey Mouge
Comment accepter cette famille
qui vit en nous ?
Pour nous permettre d’être heureux et d’accéder à nos pleines potentialités, nous devons nous libérer des blocages hérités de nos parents et de nos aïeux. Comment nous épanouir sans répéter les mêmes erreurs et les mêmes comportements ? Certaines réponses se trouvent dans la psychogénéalogie.
©Tree of life
Nous ne sommes pas seulement l'enfant d'un père et d'une mère. Nos comportements, nos réactions, nos blocages sont aussi déterminés par nos ancêtres. Nous avons tous une histoire. Une histoire de famille dont nous sommes l'un des maillons d’une chaîne de générations. Des personnes que nous connaissons bien - père, mère, grands-parents, frères ou sœurs - et d’autres dont nous ne savons pas grand-chose - voire rien, surtout quand ils sont morts il y a longtemps et que nous ne les avons pas grand-chose - voire rien, surtout quand ils sont morts il y a longtemps et que nous ne les avons pas connus - mais dont la trace subsiste en nous, à travers des références, des comparaisons, des identifications, des secrets, des non-dits ou des allusions, transmis par notre famille. Cet héritage psychologique exerce sur nous une influence qui nous pousse à répéter, souvent de manière inconsciente, que nous le voulions ou non, des situations agréables ou des
link événements douloureux. Pourquoi en effet choisir un homme qui nous fait souffrir, comme notre mère a choisi un homme qui l’a fait souffrir, comme sa propre mère ? Pourquoi succomber à la même maladie que notre père au même âge que lui ? Pourquoi s’être obligé à collectionner les diplômes et à exercer un métier prestigieux alors que nous avons toujours aimé les activités manuelles ?
Pour lire la suite de cette article cliquer ici
Source/ extrait / paru à l'inrees
Dimanche 23 Septembre 2012 / Par Audrey Mouge
link